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14 ruches urbaines sont installées à Chambly, assurant aux abeilles et pollinisateurs des espaces propices à leur survie.
Nul besoin de rappeler leur rôle essentiel à la biodiversité et à la préservation de nos écosystèmes. En prime, ils optimisent la qualité des rendements agricoles et améliorent le goût des aliments – il ne faudrait pas s’en priver !
Merci à Chloé Parenteau pour la proposition de ce projet, dans le cadre du deuxième budget participatif de la Ville !
Saviez-vous que noms des reines ont été trouvé grâce à un concours auprès de la population?
Les citoyens peuvent suivre cette aventure bourdonnante en participant à des visites d’entretien effectuées par l’entreprise Miel au carré, mandatée par la Ville.
Les visites auront lieu les vendredis, à 15 h 30, au Pôle culturel de Chambly (1625, boul. de Périgny) et les dimanches, à 13 h et 14 h 15, sur les autres sites accueillant des ruches urbaines, en alternance.év
Vendredi 30 mai: Pôle culturel de Chambly
Vendredi 6 juin: Pôle culturel de Chambly
Dimanche 8 juin: Parc des Patriotes (13 h) et parc Fonrouge (14 h 15)
Vendredi 20 juin: Pôle culturel de Chambly
Dimanche 22 juin: Jardin Boileau (13 h) et parc Georges-Pépin (14h15)
Vendredi 11 juillet: Pôle culturel de Chambly
Dimanche 13 juillet: Jardin communautaire (13 h) et bassin de rétention du parc Josephte-Châtelain (14 h 15)
Vendredi 25 juillet: Pôle culturel de Chambly
Dimanche 27 juillet: parc des Patriotes (13 h) et parc Fonrouge (14 h 15)
Vendredi 8 août: Pôle culturel de Chambly
Dimanche:10 août: Jardin Boileau (13 h) et parc Georges-Pépin (14 h 15)
Vendredi 22 août: Pôle culturel de Chambly
Contrairement à ce que l’on pense, les abeilles ne dorment pas durant l’hiver. À l’approche de cette saison, les ruches sont isolées avec une couverture de bulles isolantes avec aluminium. De leur côté, les abeilles ont enduit l’intérieur de leur ruche avec de la propolis, un mélange de résine d’arbres et de leur salive.
Durant la saison froide, les butineuses forment une grappe serrée autour de la reine. Grâce à la vibration de leur corps, la chaleur permet à sa majesté de rester bien au chaud tout l’hiver. Il semblerait même que si le thermomètre chute très bas sous zéro, la température sera maintenue à 25 degrés Celsius à l’intérieur de la ruche !
Adoptez un paysage durable pour la saison estivale en évitant d’utiliser de l’engrais et d’arroser votre pelouse – on laisse la biodiversité faire son œuvre !
Plantez des fleurs mellifères (qui produisent du miel) : cosmos, monardes, rudbeckies, échinacées, nigelles, coquelicots, achillées millefeuilles, zinnias, etc., question de bien accueillir l’ensemble des pollinisateurs !
Avant d’installer une nouvelle pelouse, il est essentiel d’évaluer l’ensoleillement du terrain. Le gazon nécessite généralement entre 4 et 6 heures de soleil par jour pour bien pousser. Les zones fortement ombragées, comme le pied des grands arbres, ne favorisent pas sa croissance et devraient être aménagées autrement.
Si votre sol est de bonne qualité, il peut être conservé tel quel. Un sol de qualité moyenne peut nécessiter l’ajout de terre ou de compost, tandis qu’un sol pauvre devra être enrichi d’une couche de 12 à 15 cm (après tassement) de terre végétale pour assurer une implantation optimale.
Maintenez le sol humide durant les deux premières semaines suivant l’installation. Un permis d’arrosage pour nouvelle pelouse est requis et peut être obtenu auprès du Service de l’urbanisme, de l’environnement et du développement économique. La première tonte peut être réalisée lorsque le gazon atteint 10 cm de hauteur.
Nettoyage printanier : À la fin de l’hiver, ratissez la pelouse pour retirer les brins d’herbe jaunis et les feuilles mortes. Faites cette opération sur un sol sec, ni gelé ni détrempé. Ensuite, ensemencez les zones dégarnies avec un mélange de graminées.
Aération du sol : Lorsque le sol devient compact, passez un aérateur mécanique sur une pelouse humide à l’automne. Laissez les carottes de terre sur place et brisez-les avec un râteau.
Terreautage : Cette technique consiste à ajouter une fine couche (moins de 1 cm) de terreau sur la pelouse après aération. Selon la nature de votre sol, mélangez compost à faible teneur en phosphore, terre à jardin et mousse de tourbe. Vous pouvez également ensemencer après le terreautage si nécessaire.
Fertilisation naturelle : Limitez l’usage des fertilisants chimiques et privilégiez l’herbicyclage et le feuillicyclage, qui couvrent environ 30 % des besoins nutritifs de la pelouse. Si un apport supplémentaire est requis, optez pour des engrais naturels et évaluez les besoins en fertilisants pour éviter le ruissellement.
Arrosage : Une pelouse nécessite environ 2,5 cm d’eau par semaine, une quantité généralement fournie par les précipitations au Québec. En cas de sécheresse prolongée, un arrosage hebdomadaire en profondeur est recommandé, en respectant la réglementation municipale. En période d’interdiction d’arrosage, le jaunissement du gazon est normal : la pelouse entre en dormance et redevient verte avec le retour des pluies.
Printemps (première tonte) | Fin printemps et durant l'été | Période de sécheresse | Automne (dernière tonte) |
5 cm | Entre 8 et 10 cm | Éviter la tonte | 5 cm |
Tondre à ces hauteurs optimise la résistance de la pelouse à la sécheresse et aux espèces envahissantes, tout en favorisant un bon enracinement et un taux d’humidité adéquat.
Pensez à intégrer différentes variétés lors de la planification de votre terrain. Certaines solutions de rechange au gazon nécessitent moins d’entretien, d’eau et de fertilisants. Ces couvre-sols sont particulièrement adaptés aux zones ombragées ou difficiles d’accès avec une tondeuse. En plus de leur côté pratique, ils ajoutent une diversité esthétique à votre aménagement paysager.
La Ville s’est démarquée grâce aux ruches urbaines et à votre participation dans l’aventure ?